Snapchat, la plateforme de messagerie instantanée appartenant à Snap, vient de rejoindre le mouvement des chatbots avec son nouveau chatbot IA nommé “My AI”. Ce chatbot est alimenté par la dernière version de ChatGPT, le modèle de génération de texte d’OpenAI. Le chatbot sera épinglé sur l’onglet chat de l’application et sera visible au-dessus des conversations avec les amis.
Qu’est-ce que My AI ?
My AI est un chatbot expérimental qui permet aux utilisateurs de Snapchat de discuter avec une intelligence artificielle sur divers sujets. Le chatbot peut répondre aux questions, donner des recommandations, créer des visuels génératifs et même participer à des conversations de groupe en utilisant le symbole @.
Voici une vidéo en anglais présentant cet outil :
My AI est conçu pour éviter les réponses biaisées, incorrectes, nuisibles ou trompeuses, mais il peut ne pas toujours réussir, donc il ne faut pas se fier à ses conseils. Le chatbot peut également utiliser les informations partagées par les utilisateurs pour améliorer les produits de Snap et personnaliser leur expérience, y compris les publicités.
Comment fonctionne My AI ?
My AI fonctionne grâce à ChatGPT, un modèle de génération de texte basé sur le deep learning qui a été développé par OpenAI, une organisation de recherche en intelligence artificielle. ChatGPT utilise une technique appelée “transformer” qui lui permet d’apprendre à partir de grands corpus de texte et de générer des réponses cohérentes et pertinentes en fonction du contexte.
ChatGPT a été entraîné sur des millions de conversations provenant de Reddit et d’autres sources publiques, ce qui lui donne une capacité à dialoguer sur une variété de sujets.
Quelles sont les nouveautés de My AI ?
My AI a été introduit en février et n’était auparavant disponible que pour les abonnés à Snapchat+, mais il est désormais accessible à tous, dans le cadre du mouvement de Snap pour se positionner dans la course à l’intelligence artificielle. Les nouvelles mises à jour permettent aux utilisateurs de concevoir un “Bitmoji” personnalisé et de nommer leur chatbot IA personnel, d’envoyer leurs Snapchats à My AI et de recevoir une réponse par chat, d’intégrer le bot dans une conversation avec des amis en utilisant simplement @ pour “mentionner My AI et poser une question au nom du groupe” et d’obtenir des recommandations à partir de la Snap Map ou du filtre parfait pour une photo.
Par exemple, on peut demander à My AI de suggérer des activités pour le week-end en famille ou d’obtenir la recommandation du filtre idéal pour souhaiter un joyeux anniversaire à un ami. Pour l’instant, les utilisateurs peuvent envoyer des Snapchats à My AI et recevoir une réponse par chat, mais le communiqué annonce que les abonnés à Snapchat+ pourront bientôt envoyer un visuel à My AI et obtenir en retour un “visuel génératif unique”.
Comment supprimer My AI ?
Pour les utilisateurs qui souhaitent se débarrasser de My AI, seuls les abonnés à Snapchat+ peuvent actuellement supprimer My AI de leur fil de discussion, selon une page d’aide de Snapchat. Il suffit d’appuyer longuement sur le nom du chatbot et de choisir “Supprimer le chat”. Les autres utilisateurs devront attendre que cette option soit disponible pour eux.
My AI est loin d’être parfait, mais nous avons fait beaucoup de progrès”, a déclaré Snap dans son communiqué. “Nous sommes impatients de voir comment les Snapchatters vont interagir avec My AI et découvrir le monde qui les entoure.”
La crise énergétique qui touche l’Europe et le monde a des conséquences importantes sur les ménages et les entreprises françaises. Les prix du gaz et de l’électricité ont atteint des niveaux record, mettant en péril le pouvoir d’achat et la compétitivité. Face à cette situation, comment les Français cherchent-ils à réduire leur consommation d’énergie et à trouver des alternatives plus durables ?
Le gouvernement annonce des aides financières et fiscales
Pour soutenir les Français les plus touchés par la hausse des prix de l’énergie, le gouvernement a annoncé plusieurs dispositifs d’aide. Il s’agit notamment de :
Augmenter le chèque énergie de 100 euros pour 5,8 millions de ménages modestes, ce qui portera son montant moyen à 227 euros en 2022.
Créer un fonds d’urgence de 300 millions d’euros pour aider les ménages en situation de précarité énergétique à payer leurs factures ou à réaliser des travaux d’isolation.
Exonérer de la taxe intérieure de consommation sur les produits énergétiques (TICPE) les entreprises qui utilisent du gaz naturel ou du fioul comme matière première ou comme source de chaleur industrielle.
Accorder un crédit d’impôt exceptionnel de 30 % aux entreprises qui investissent dans des équipements permettant de réduire leur consommation d’énergie ou d’utiliser des énergies renouvelables.
Voici une vidéo relatant ces faits :
Ces mesures représentent un coût total de 2,4 milliards d’euros pour l’Etat, financé par le budget général et par une partie des recettes de la vente des quotas d’émission de CO2.
Les entreprises s’adaptent et se mobilisent pour économiser l’énergie
Face à la flambée des prix de l’énergie, les entreprises françaises doivent faire face à une baisse de leur rentabilité et à une perte de compétitivité par rapport à leurs concurrents européens. Pour limiter l’impact de la crise énergétique sur leur activité, elles cherchent à :
Réduire leur consommation d’énergie en modulant leur production, en optimisant leurs processus industriels ou en recourant au télétravail.
Négocier avec leurs fournisseurs d’énergie des contrats plus avantageux ou plus flexibles, en profitant des opportunités offertes par le marché libre de l’énergie.
Diversifier leurs sources d’énergie en se tournant vers des solutions plus vertes, comme le biogaz, l’hydrogène ou l’autoconsommation solaire.
Sensibiliser leurs salariés et leurs clients aux enjeux de la transition énergétique et aux gestes écoresponsables.
Certaines entreprises se sont également engagées à participer au plan national d’économies d’énergie lancé par le gouvernement, qui vise à réduire la consommation électrique de 10 % par rapport à 2019.
Les citoyens changent leurs habitudes et se tournent vers les énergies renouvelables
La crise énergétique a également un impact direct sur le budget et le mode de vie des Français. Pour faire face à la hausse des prix du gaz et de l’électricité, ils adoptent des comportements plus sobres et plus écologiques. Ils cherchent notamment à :
Diminuer leur chauffage en baissant le thermostat, en isolant mieux leur logement ou en portant des vêtements plus chauds.
Réduire leur consommation électrique en éteignant les appareils en veille, en utilisant des ampoules basse consommation ou en limitant l’usage des appareils gourmands en énergie.
Le 6 avril 2023, nous aurons la chance d’assister à un spectacle céleste exceptionnel : la Pleine Lune Rose en Balance. Il s’agit de la première pleine lune du printemps, qui coïncide avec la floraison des phlox, des fleurs roses qui symbolisent l’amour et la douceur. Cette pleine lune nous invite à cultiver l’harmonie, la beauté et l’équilibre dans nos vies, tout en étant attentifs à nos relations et à nos sentiments. Voici quelques conseils pour profiter au mieux de cette énergie positive et romantique.
Faites le point sur votre couple
La Balance est le signe du couple par excellence, qui cherche toujours à créer du lien, de la complicité et de la coopération avec l’autre. Cette pleine lune est donc idéale pour faire le bilan de votre relation amoureuse, et voir ce qui fonctionne ou ce qui doit être amélioré. Vous pouvez profiter de cette occasion pour dialoguer avec votre partenaire, exprimer vos besoins, vos envies, vos attentes, mais aussi écouter ceux de l’autre. Si vous êtes célibataire, cette pleine lune peut vous aider à clarifier ce que vous recherchez chez un(e) potentiel(le) partenaire, et à vous ouvrir aux rencontres.
Voici une vidéo relatant ces faits :
Cultivez la beauté et la créativité
La Balance est aussi le signe de l’esthétique, du raffinement et de l’art. Cette pleine lune vous invite à embellir votre environnement, que ce soit votre intérieur, votre jardin, ou votre apparence. Vous pouvez par exemple décorer votre maison avec des fleurs roses, symboles de cette pleine lune, ou vous offrir une séance de soins ou de shopping. Vous pouvez aussi exprimer votre créativité à travers une activité artistique, comme le dessin, la peinture, la musique ou l’écriture. Laissez-vous inspirer par la beauté qui vous entoure, et faites-en profiter les autres.
Trouvez votre équilibre intérieur
La Balance est le signe de l’équilibre, qui cherche toujours à peser le pour et le contre, à harmoniser les opposés, à éviter les conflits. Cette pleine lune vous invite à trouver votre équilibre intérieur, en prenant soin de votre corps, de votre esprit et de votre âme. Vous pouvez par exemple pratiquer une activité physique douce, comme le yoga ou la danse, qui vous permettra de vous sentir bien dans votre peau et dans votre tête. Vous pouvez aussi méditer, prier, ou faire un rituel de gratitude, qui vous aidera à vous connecter à votre essence spirituelle et à remercier l’univers pour ses bienfaits.
La Pleine Lune Rose en Balance du 6 avril 2023 est une opportunité unique de voir la vie en rose, et de partager cet état d’esprit avec ceux que vous aimez. Profitez-en pour célébrer l’amour sous toutes ses formes, et pour rayonner de joie et de bonheur.
Si vous aimez l’astronomie, vous ne voudrez pas manquer le spectacle céleste qui se déroule en ce moment. Depuis le 25 mars et jusqu’au 31 mars, il est possible d’observer à l’œil nu cinq planètes alignées dans le ciel : Jupiter, Mercure, Vénus, Uranus et Mars. Ce phénomène, appelé « parade planétaire », est assez rare et ne se reproduira pas avant plusieurs années. Voici comment le contempler et le comprendre.
Voici une vidéo montrant ce genre de phénomène :
Qu’est-ce qu’une parade planétaire ?
Une parade planétaire est un événement astronomique qui se produit lorsque plusieurs planètes du système solaire se trouvent du même côté du Soleil, vues depuis la Terre. Elles apparaissent alors alignées sur une même ligne imaginaire, appelée écliptique, qui correspond au plan dans lequel s’effectue l’orbite de la Terre autour du Soleil. Les planètes circulent toutes au voisinage de l’écliptique, mais à des vitesses et à des distances différentes. Il est donc rare qu’elles se regroupent ainsi dans le ciel.
Une parade planétaire n’a aucune conséquence sur la Terre ou sur les autres planètes. Il s’agit simplement d’un effet d’optique qui nous offre un beau spectacle visuel. Il ne faut pas confondre une parade planétaire avec une conjonction planétaire, qui est un phénomène plus précis où deux ou plusieurs planètes se rapprochent au point de former un astre unique à l’œil nu.
Comment observer la parade planétaire de mars 2023 ?
La parade planétaire de mars 2023 est visible depuis le 25 mars et jusqu’au 31 mars, juste après le coucher du soleil. Le meilleur moment pour l’observer sera le 28 mars, où les cinq planètes seront les plus proches les unes des autres. Pour les repérer dans le ciel, il faut commencer par localiser Vénus, qui est l’astre le plus brillant après le Soleil et la Lune. Elle se trouve près de l’horizon ouest, légèrement au nord. À côté de Vénus, on peut distinguer Uranus, qui est beaucoup plus faible et qui nécessite peut-être une paire de jumelles pour être vue.
Ensuite, il faut lever les yeux vers le haut et suivre l’écliptique vers la droite. On tombe alors sur Mars, qui se reconnaît à sa couleur rougeâtre. Puis on continue vers la droite et on trouve Jupiter, qui est la deuxième planète la plus brillante de la parade. Enfin, on termine par Mercure, qui est la plus proche de l’horizon et la plus difficile à voir car elle est souvent cachée par les nuages ou la pollution lumineuse.
Pour profiter pleinement de la parade planétaire, il est conseillé de choisir un endroit dégagé et éloigné des sources de lumière artificielle. Il est aussi possible d’utiliser une application mobile ou un site web spécialisé pour identifier les planètes et connaître leur position exacte dans le ciel.
Quand aura lieu la prochaine parade planétaire ?
Les parades planétaires sont des événements assez rares, qui ne se produisent pas à intervalles réguliers. La dernière parade planétaire visible à l’œil nu a eu lieu en juillet 2020, avec quatre planètes alignées : Jupiter, Saturne, Mars et Vénus. La prochaine parade planétaire visible à l’œil nu aura lieu en octobre 2028, avec six planètes alignées : Mercure, Vénus, Mars, Jupiter, Saturne et Uranus.
Jean-Pierre Valentini s’est fait une place de choix dans l’univers pétrolier. Grâce à ses réussites, il a fortement développé les marchés des géants Elf et Trafigura en Afrique. Portrait d’un homme dont le talent et l’ambition ont fait naître le succès.
Jean-Pierre Valentini : une vie très active en Afrique.
Jean-Pierre Valentini est né en Corse, à Corte, le 5 février 1964. Déjà, au cours de sa prime jeunesse, il démontre un certain talent pour les études : il se place parmi les meilleurs élèves tout au long de sa scolarité, faisant preuve d’une rigueur et d’un goût pour le travail qui présage de réussites de son avenir.
C’est à l’âge de 24 ans, en 1988 qu’il commence à s’intéresser à la finance et au management, quand il entreprend un MBA à l’université d’Hartford, localisée dans le Connecticut. Rapidement, il commence à travailler dans l’énergie avec un stage qu’il fait au sein de la compagnie Elf, à Houston. Il devient, très vite, le responsable du trading du groupe.
Jean-Pierre Valentini : ses débuts dans la raffinerie
En 1990, Il se retrouve en Loire-Atlantique où il intègre une raffinerie à Donges. Il y reste deux ans avant de finalement retourner vers la compagnie Elf en qualité de trader. C’est là qu’il réussit à faire ses preuves et qu’il atteindra la fameuse position de responsable du trading pour la direction de l’intégralité de la zone de l’Afrique de l’Ouest.
En 2004, il quitte Elf pour rejoindre le troisième plus grand groupe pétrolier du monde, le groupe Trafigura. Il y sera également responsable trading et parvient à récupérer toute la zone de l’Afrique de l’Est en 2008.
En moins d’un an, Jean-Pierre Valentini devient directeur de la zone Afrique entière pour Trafigura. Au cours de ses aventures pétrolières, il a ainsi accompli l’exploit de développer le marché en Afrique pour le compte de Elf et Trafigura. Il est d’ailleurs particulièrement fier d’avoir dirigé un tel développement du marché pour des multinationales aussi importantes dans le milieu de l’énergie : en effet, le monde de l’énergie en Afrique tel qu’il est maintenant aurait été très différent sans la présence de Jean-Pierre Valentini.
Jean-Pierre Valentini : un amoureux de l’Afrique
C’est en 2011 qu’il reçoit l’attribution de l’ensemble des activités de Trafigura en Afrique, devenant l’homme le plus puissant dans le secteur du pétrole africain. Puis, en 2016, fort de sa brillante carrière et reconnu dans le milieu des matières premières comme “Monsieur Afrique”, il devient consultant en matières premières à l’international. Actionnaire de nombreuses start-ups, il diversifie ainsi son activité, dans des domaines tels que la certification des montres de luxe, l’immobilier ou la high-tech. Il crée également une start-up , B Reputation, qui se sert d’algorithmes pour travailler sur la réputation des PME.
L’œuvre de Jean-Pierre Valentini aura permis au groupe Elf de connaître ses plus grandes heures de gloire et d’obtenir des sommes titanesques de chiffre d’affaires, avant qu’il ne soit absorbé par le groupe total. Pour Trafigura, son travail lui aura permis d’être solidement implanté dans 36 pays. Encore aujourd’hui, le groupe est l’une des plus puissantes sociétés pétrolières au monde et doit sans le moindre doute cette position à “monsieur Afrique”.
Jean-Pierre Valentini quitte Genève pour aller s’installer à Dubaï, aux Émirats Arabes Unis où il s’adonne à sa passion pour le pilotage automobile et les voitures de collection. Son départ sera fortement remarqué par la presse, la vente de sa villa constituant l’un des plus gros événements immobiliers suisses de l’époque. Dans les écoles de management et de commerce, il est souvent cité comme exemple de réussite par la rigueur et le travail.
Jean-Pierre Valentini : ses investissements variés et intelligents.
Investisseur intelligent et doté d’une grande curiosité intellectuelle, Jean-Pierre Valentini a investi dans des domaines d’avenir, lui assurant un succès financier et entrant ainsi dans la liste des 300 plus riches en Suisse, en 2016. Grâce à ses investissements dans l’immobilier, il a notamment su acquérir le terrain de sa villa en Suisse pour seulement un tiers de sa valeur de revente.
Sa start-up B Reputation est particulièrement innovante : elle analyse les transactions des entreprises et encode les données d’une manière dite “intelligente”, qui seront référencées et ainsi transmises aux assurances et aux banques.
Actionnaire de Space X, la célèbre entreprise d’Elon Musk qui se spécialise dans les vols spatiaux et l’aéronautique, en plus d’accompagner la NASA dans le lancement de ses satellites et leur mise en orbite, Jean-Pierre Valentini prouve son fort intérêt pour les technologies d’avenir.
Il investit également en lien avec ses nombreuses passions. Ses réussites lui auront par ailleurs donné les moyens de s’y adonner, notamment dans le domaine des montres de luxe. Il aime particulièrement la marque Rolex, dont il collectionne les montres. C’est donc sans surprise qu’il possède des parts du groupe Tradee, une entreprise se spécialisant dans la délivrance de certificats qui permettent d’authentifier et d’assurer la valeur réelle des montres de luxe auprès des assureurs, par exemple en cas de vol ou de perte.
Un homme de goût et de passions.
Un grand intérêt pour l’art.
Les grandes réussites financières de Jean-Pierre Valentini lui auront notamment permis de profiter de ses plus grandes passions. Ainsi, amateur d’art contemporain, il est l’heureux propriétaire de trois tableaux du peintre Pierre Soulages, spécialiste de l’abstrait et de l’usage des reflets du noir. Âgé de plus de 100 ans, le peintre à peint son dernier tableau en 2018.
Il s’intéresse également particulièrement à l’art japonais et possède ainsi toute une collection de stylos de la marque Nakimi, mais également des Netsuke, qui sont des ornements traditionnels des tenues des samouraïs. Sortes de boutons sculptés avec finesse dans l’ivoire ou le bois, il est particulièrement rare d’en trouver qui soient encore en parfait état de conservation.
Il aime aussi particulièrement le design des années 50 en matière de mobilier. Il en apprécie la créativité, qu’il considère comme un art à part entière. Il admire le design tout comme ses créateurs et il en possède lui-même de nombreuses pièces.
Amateur d’esthétisme sous toutes ses formes, Jean-Pierre Valentini éprouve une profonde affection pour le style architectural de Jean Prouvé. Ce dernier mêle avec brio le modernisme et la ferronnerie traditionnelle. Il apprécie également l’avant-gardisme d’époque, notamment celui influencé par Charlotte Perriand. Il semble que les goûts en matière d’art de Jean-Pierre Valentini lui ressemblent : ce sont ceux d’un homme ancré dans la tradition, mais sans y rester bloqué. Il porte son regard vers l’avenir sans rejeter une certaine nostalgie du passé.
Une passion pour la course d’endurance
Jean-Pierre Valentini est fortement lié à l’homme d’affaires et pilote automobile franco-ivorien Frédéric Fatien, avec qui il a collaboré lorsqu’il travaillait pour Trafigura. Les deux hommes partagent en effet la passion du plaisir automobile. Ainsi, ils vont fondent ensemble l’écurie GPX Racing en 2015. Cette équipe de course professionnelle basée à Dubaï a remporté des trophées depuis qu’elle a été créée : le challenge 1000 kilomètres de Paul Ricard, les 24H de Dubaï ou encore doublement vainqueur de l’IGTC Champion, avec le soutien de Porsche. L’équipe est reconnue pour sa participation à des courses GT du niveau le plus élevé et elle a été validée notamment par Porsche Motosport.
Les engagements de Jean-Pierre Valentini
Jean-Pierre Valentini se voit comme un citoyen du monde et de ce fait, il s’intéresse grandement à la géopolitique et à l’avenir de la planète. Il s’est notamment engagé pour le climat avec son écurie GPX Racing, qui finance la plantation de 100 arbres après chaque course, dans le but de compenser les émissions de gaz à effet de serre de ladite course. Il prend ainsi la responsabilité des conséquences de ses passions, chose rare dans son milieu. Lors de son travail pour Trafigura, il a pu se targuer d’avoir mené à bien des opérations difficiles et risquées, tout en restant complètement dans les limites légales, là ou d’autres auraient été tentés de s’affranchir du droit au profit de l’efficacité.
On dénombre actuellement 58 centrales nucléaires sur l’ensemble du territoire Français. On peut se demander, pourquoi y a il autant de centre nucléaire en France ? Ce qui classe l’hexagone au deuxième rang mondial, juste derrière les Etats Unis avec 104 centrales. Il faut savoir que 75 % de la production électrique en France est assurée par l’énergie nucléaire. La politique énergétique du pays a été d’opter pour cette source d’électricité, notamment pour son faible coup de production du kilowatt heure, pour la densité énergétique de l’uranium et pour son impact CO2 nul.
Répartition sur le territoire et risques pour les populations
La répartition des centrales est homogène sur l’ensemble du pays. Les effets et dégât dû à la radioactivité étant très puissants, peuvent potentiellement toucher l’ensemble de la France. En cas d’accident ou d’attentat sur un réacteur les conséquences sur les populations, la faune et la flore seraient énormes. la France prétend maintenant un niveau élevé d’indépendance énergétique avec l’électricité presque la moins chère en Europe. Elle dispose également d’un niveau d’émissions de CO2 par habitant extrêmement faible, puisque plus de 90% de son électricité est d’origine nucléaire ou hydraulique (11 %). Cette source d’énergie est donc de grande utilité à la France, mais pose un réel problème de sécurité publique. La gestion des déchets et la question de l’enfouissement sur le territoire restent des points compliqués.
La production des centrales
Les 58 réacteurs nucléaires exploités fournissent chaque année une moyenne de 416 milliards de kilowatt heure. Son coût de production est d’environ 42 € le mégawatt heure. La France exporte également une partie conséquente de l’électricité issue de la filière nucléaire vers ses voisins Européens. La fission de l’uranium permet donc au pays d’assurer un des meilleurs réseau électrique mondial avec des coupures rarissimes voir inexistantes. Bien que très réglementée l’énergie atomique constitue une source fiable mais représente un risque majeur d’accident dramatique.
Les anniversaires des catastrophes de Fukushima et de Tchernobyl mettent en évidence les défis liés au recours à l’énergie nucléaire pour réduire à zéro les émissions nettes de carbone.
Au Japon, quelque 19 300 vies ont été perdues à la suite d’un tremblement de terre survenu au large de l’île de Honshu et du tsunami qui a suivi. Le tsunami a également balayé la digue de protection autour de la centrale nucléaire de Fukushima Daiichi, et les inondations qui ont suivi ont conduit à la fusion partielle de trois cœurs de réacteur, provoquant des incendies et des explosions. Vingt-cinq ans plus tôt, l’erreur humaine avait provoqué une fusion sur le site de Tchernobyl, faisant sauter le toit d’un réacteur nucléaire et libérant des radiations à travers l’Europe.
Aujourd’hui, l’énergie nucléaire fournit environ 10% de l’énergie mondiale, contre 13% en 2010. Son utilisation pourrait continuer à baisser, même si elle continuera à faire partie du mix énergétique mondial pendant de nombreuses décennies, avec un rôle dans la décarbonisation des approvisionnements énergétiques.
L’ère des combustibles fossiles touche à sa fin.
De nouveaux réacteurs continuent d’être planifiés et construits – en Chine et en Inde, par exemple. Mais, comme l’Agence internationale de l’énergie (AIE) l’a noté, l’utilisation générale de l’énergie nucléaire, en particulier dans les pays à revenus élevés, est inférieure à ce qu’elle appelle son scénario de développement durable. Et, face à la baisse des coûts de l’énergie produite à partir de sources renouvelables telles que l’énergie solaire et éolienne, il est possible que la demande d’énergie nucléaire ne rebondisse pas.
L’attention étant centrée sur les catastrophes nucléaires, il est difficile d’imaginer l’enthousiasme avec lequel l’énergie nucléaire était autrefois considérée, alors qu’elle était considérée par beaucoup comme une réponse à la demande mondiale d’énergie. Depuis le premier réacteur expérimental en 1951, les réacteurs ont été mis en service à un rythme croissant. Ainsi, 20 à 30 réacteurs étaient mis en service presque chaque année entre la fin des années 1960 et la fin des années 1970.
Mais cela a changé après la catastrophe de 1979 à l’usine de Three Mile Island en Pennsylvanie, où un dysfonctionnement du refroidissement a entraîné la fonte d’une partie du cœur d’un réacteur. Heureusement, cela n’a fait aucun morts, mais 7 ans plus tard, quelque 31 personnes sont mortes des suites directes de la catastrophe de Tchernobyl. Beaucoup d’autres ont été affectées par les radiations qui se sont propagées dans ce qui était alors l’Union soviétique, ainsi qu’en Europe de l’Est et de l’Ouest, mais les chiffres restent contestés. Au cours de la catastrophe de Fukushima, jusqu’à 50 personnes ont subi des brûlures non mortelles par rayonnement, et une personne est décédée par la suite d’un cancer du poumon résultant d’une exposition aux rayonnements.
Outre les décès et les risques pour la santé, le coût des dommages causés par Tchernobyl dépasserait 200 milliards de dollars américains, et le Centre japonais de recherche économique estime que les coûts de décontamination du site de Fukushima se situent entre 470 et 660 milliards de dollars. À la suite de la catastrophe, 12 des réacteurs japonais ont été définitivement fermés; 24 autres restent fermés dans l’attente d’examens de sécurité.
Tout cela signifie qu’en plus des coûts de construction, tout pays investissant dans l’énergie nucléaire doit pouvoir débloquer d’importantes sommes en cas de catastrophe, qu’elle soit le résultat d’une erreur humaine ou de phénomènes naturels.
En revanche, bien que les technologies des énergies renouvelables en soient encore à leurs balbutiements, leurs coûts diminuent et leur réglementation est beaucoup plus simple.
L’énergie de liaison entre les protons et les neutrons constituant les noyaux atomiques, rapportés à leur masse totale, est nulle pour l’hydrogène ; elle croît ensuite rapidement avec la masse atomique des éléments successifs de la classification de Mendeleeiv ; elle est maximale pour le fer, puis redescend plus lentement jusqu’à l’uranium. Cette énergie de liaison est équivalente à une masse, suivant la célèbre équation e = mc², due à Henri Poincaré et Albert Einstein, dans laquelle c est la vitesse de la lumière. Les noyaux atomiques, sauf celui de l’hydrogène, présentent ainsi un défaut de masse par rapport à la somme des masses des protons et des neutrons qui les constituent, ce défaut de masse étant maximal pour le fer. Il est possible de récupérer une partie de l’énergie de liaison entre protons et neutrons, soit en cassant un noyau lourd en deux éléments plus légers (fission), soit en constituant un noyau plus lourd, à partir de deux éléments légers (fusion). Dans les deux cas, les réactions se traduisent par une légère perte de masse des éléments finals par rapport à celle des éléments initiaux, associée à une libération d’énergie toujours considérable, en raison de l’importance du coefficient de proportionnalité c², mais bien plus importante dans le cas de la fusion que dans celui de la fission, si on la rapporte à la masse globale mise en jeu.
Les réactions de fission
Tous les noyaux lourds ne sont pas fissiles. L’uranium 238, le plus lourd des éléments naturels, ne l’est pas. Son isotope naturel 235 (1 atome d’U 235 pour 139 atomes d’U 238) est, par contre, fissile, ainsi que le thorium. Une réaction de fission type est, par exemple :
est un neutron. Les chiffres inférieurs donnent les numéros atomiques des éléments (nombre de protons dans leurs noyaux), les chiffres supérieurs le nombre total de protons et de neutrons. Un autre noyau très fissile est celui du plutonium 239, premier élément artificiel dit transuranien, qui résulte de la capture d’un neutron par un noyau d’uranium 238 dans un réacteur nucléaire . Une réaction de fission individuelle est déclenchée par l’impact d’un neutron. Mais elle peut s’amorcer spontanément, dès qu’une masse suffisante de matière fissile est rassemblée (masse critique), les premiers neutrons produits déclenchant la fission d’autres noyaux (réaction en chaîne).
Les applications de la fission nucléaire
Une bombe atomique est essentiellement constituée de deux masses distinctes sous-critiques, brutalement mises en contact par une explosion conventionnelle pour constituer une masse sur-critique qui explose, provoquant une onde de choc, un rayonnement intense X et g, un dégagement de chaleur considérable dans le visible et l’infrarouge.
Les réacteurs nucléaires à usage civil sont conçus pour contrôler la réaction, qui ne peut ainsi devenir explosive. Toute l’énergie libérée se transforme en chaleur au coeur des réacteurs et doit être évacuée de façon continue vers les circuits d’utilisation. La dispersion volontaire du combustible nucléaire dans les réacteurs civils rend plus difficile l’amorce de la réaction en chaîne, qui ne se produit spontanément qu’avec des combustibles à base de plutonium très fissile (réacteurs dits à neutrons rapides). L’utilisation de combustibles à base d’uranium 235, moins fissile, impose de ralentir les neutrons émis pour augmenter leur probabilité de capture, grâce à un matériau solide ou liquide appelé modérateur (réacteurs dits à neutrons lents). La tendance actuelle est d’utiliser un modérateur liquide, servant simultanément de fluide dit caloporteur, évacuant l’énergie calorifique dégagée.
Les réactions de fusion
Ce sont les réactions qui fournissent leur énergie aux étoiles. Elles ne concernent que l’ hydrogène H, le deutérium H (ou hydrogène lourd), le tritium H, et aboutissent par étapes à l’hélium H. Elle sont rendues possibles, au coeur des étoiles, par les pressions et par l’agitation thermique considérables qui y règnent et permettent ainsi de surmonter la répulsivité réciproque des noyaux en présence. Seule l’une de ces réactions a pu être reproduite sur Terre, au niveau de masses significatives (et non pas seulement au niveau de la collision de deux noyaux isolés dans un accélérateur) ; c’est la réaction : (Méga électrons Volt), très énergétique, qui s’amorce à la température la plus basse (ordre de grandeur du million de K). Le deutérium H est un isotope naturel stable de l’hydrogène, qui en contient 0,015 %. Compte tenu de la masse des océans, c’est donc un combustible inépuisable. Le tritium H, quant à lui, n’existe pratiquement pas à la surface de la Terre, mais il peut être produit simplement par bombardement neutronique d’un matériau naturel assez abondant, le lithium.
Les applications de la fusion nucléaire
Jusqu’à ce jour, la fusion n’a trouvé que des applications militaires. Il est, en effet, possible d’amorcer une réaction de fusion explosive en utilisant comme détonateur une bombe à fission. Tel est le principe des bombes dites thermonucléaires à deutérium et tritium, ou à deutérium et lithium, qui existent en deux versions principales : les bombes stratégiques de destruction massive, dont la version la plus puissante a été expérimentée par l’Union soviétique en 1961, les bombes dites à neutrons renforcé destinées à tuer le personnel des formations militaires, même protégé par des blindages, sans faire trop de dégâts de matériels. Ces dernières peuvent aussi détruire ou neutraliser des missiles stratégiques rentrant dans l’atmosphère, par un simple tir de proximité.
Malgré les efforts acharnés conduits dans de nombreux pays depuis 1958, les tentatives de domestication de l’énergie de fusion à des fins civiles n’ont encore donné que des résultats balbutiants.
L’impact économique du nucléaire civil
Quelques petits réacteurs ont pour principale finalité de constituer des outils de recherche ou de production d’isotopes radioactifs utilisés en médecine (traçage radioactif, irradiation des tumeurs), ou dans l’imagerie technique (contrôle des matériaux et des soudures par gammagraphie). Malgré de nombreuses études portant sur des applications potentielles de réacteurs particuliers à des activités industrielles, métallurgiques ou chimiques, les grands réacteurs actuels constituent toutes les sources chaudes de centrales électriques, fonction dans laquelle ils se substituent aux sources chaudes classiques que sont les chaudières de combustion. Leur impact économique est alors considérable dans les pays dépourvus de ressources rentables en combustibles fossiles, comme la France et le Japon. Ils permettent tout d’abord d’abaisser le prix de revient de l’électricité produite (en France, le kiloWatt heure (kWh) d’origine nucléaire revient à 25 centimes, aux bornes des centrales, contre 32 centimes pour le kWh-charbon et 34 centimes pour le kWh-gaz). Mais ils améliorent aussi spectaculairement la balance des paiements des pays utilisateurs (réduction des importations de combustibles fossiles étrangers, exportation d’énergie électrique vers des pays voisins), tout en assumant la sécurité de l’approvisionnement énergétique en cas de tension ou de conflits internationaux. Ils constituent enfin le seul moyen actuellement connu de lutte contre l’augmentation rapide de la teneur en gaz carbonique de l’atmosphère, génératrice de l’effet de serre. Le rôle des grands réacteurs ne cessera de se développer, après épuisement des ressources pétrolières et gazières, surtout s’il se révèle possible d’abaisser le prix de revient du kWh nucléaire à des valeurs suffisamment faibles pour que l’hydrogène, issu de l’électrolyse de l’eau, se présente économiquement comme un carburant automobile de remplacement.
Un certain flou, assez périlleux, subsiste toutefois quant aux techniques de stockage des combustibles irradiés et quant au prix de revient de ces opérations. Ce flou risque de subsister aussi longtemps que l’énergie de fusion n’aura pas pris le relais de l’énergie de fission. Il semble cependant se préciser que les techniques françaises, auxquelles se rallient les Japonais, de retraitement chimique de ces combustibles pour en séparer l’uranium appauvri, le plutonium, ainsi que les autres résidus radioactifs dus à des réactions secondaires, classés par niveau de dangerosité, sont les plus efficaces. Elles permettent notamment une réduction considérable des volumes stockés, la destruction des produits les plus dangereux dans des réacteurs à neutrons rapides et la vitrification (c’est-à-dire que les déchets nucléaires sont coulés avec du verre), avant enfouissement en sites protégés, des autres résidus.
Les problèmes environnementaux
La croissance spectaculaire des usages pacifiques de l’atome a suscité l’inquiétude de l’opinion publique dans les pays occidentaux en raison du potentiel considérable de pollution de l’énergie nucléaire, non seulement dans un fonctionnement normal, mais, surtout, en cas d’accident majeur. Les catastrophes de Tchernobyl (Ukraine) en 1986 et de Kychtym (Oural) en 1957-1958 ont montré que la probabilité de tels désastres n’était, en effet, pas nulle.
Aujourd’hui, EDF est largement engagée dans une démarche de certification selon la norme ISO 14001 – protection de l’environnement.
Le cycle du combustible nucléaire
L’analyse du cycle du combustible nucléaire permet de hiérarchiser les risques résultant de l’usage civil de cette énergie, de l’exploitation de la mine d’uranium au stade final du stockage des déchets. Les différentes étapes de ce cycle ne présentent pas, en effet, un égal danger pour l’environnement. En réalité, les deux phases où les risques d’accident et (ou) de pollution sont les plus importants sont celle de la production d’énergie dans les réacteurs électronucléaires et surtout celle du retraitement des combustibles irradiés. À un degré moindre, dans les conditions propres aux pays occidentaux, le stockage des déchets peut aussi présenter un danger de pollution accidentelle catastrophique.
En l’absence d’accident, la pollution par les réacteurs en fonctionnement est relativement faible. Elle dépend, bien entendu, du type de réacteur utilisé. Les rejets d’un réacteur de type REP (réacteur à eau pressurisée), ceux d’EDF en France, par exemple, sont principalement constitués par du tritium, rejeté essentiellement sous forme d’eau tritiée (HTR). Selon les normes internationales en vigueur, la radioactivité des rejets d’un réacteur en fonctionnement normal ne doit pas excéder 1 Bq/l (becquerel/litre) d’eau fluviale ou littorale pour la totalité des types d’émetteurs, sauf pour le tritium, la tolérance des rejets allant jusqu’à 27 Bq/l.
L’étude de la radioactivité du Rhône près d’Arles montre cependant que, jusqu’à présent, EDF a largement suivi ces prescriptions puisque, à la fin des années 1980, cette dernière était à peine de 19,3 Bq/l pour le tritium, de 0,5 Bq/l pour le cérium 144, ou encore de 0,45 Bq/l pour le ruthénium 106.
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